Dragon Ball GT

Que fais Toto pour ne pas qu'on regarde par la serrure.

- Il laisse la porte ouverte.

C'est Toto qui demande à sa maman pour allez au camp militaire. La maman : oui, mais tu dit ton âge 18 ans, ton nom Toto et oui chef à tout ce qu'on te dit.

Il arrive là bas, le général arrive vers lui et lui demande : ton nom : 18 ans. Ton âge Toto répond Toto. Tu te fous de ma geuele. Oui chef dit Toto.

C'est Toto qui vas à l'armée et le général lui demande. Pour demain, tu me diras la fonction du fusil, de la mitraillette et du tank.

Le lendemain, Toto dit :  le fusil sert à fusiller, la mitraillette à mitrailler, et le tank à t'enculer.

Pendant toute son adolescence, Samuel a entendu sa mère lui seriner le même refrain : << Mon fils, n'épouse jamais une Amériquaine. Elles sont incapables de faire la cuisine, elles sont nulles au lit, elles dépensent tout son argent et elles finissent toujours parle traiter de save youpin, un jour au l'autre. >> Et puis vient le jour tant redouté où Samuel, comme par un fait exprès, épouse une Américaine...

- Alors, mon fils, gémit sa mère. Elle te traite mal, n'est-ce pas ? Elle te prend tout ton argent, elle refuse de coucher avec toi et elle jette des insultes au visage ! Ah, Samuel mon fils, pourquoi n'as-tu pas écouté ta mère !

- Non, non, maman, répond Samuel. Je t'assure tu te fais du mauvais sang pour rien. Barbara est un vrai cordon-bleu, elle est économe et c'est une vrai bombe au lit, je t'assure.

- Mais elle te traite de sale youpin, n'est-ce pas, mon fils ?

- Seulement que je la traite de sale négresse, maman.

Monsieur Dugommeau et son fils Thomas prennent un taxi et, en chemin, ils passent dans une rue chaude remplie de sex-shops et de prostituées.

- Dis papa, c'est quoi ces magasins rigolos ? Demande Thomas.

- C'est rien, c'est rien...

- Ce sont des sex-shops ! Dit le chauffeur, hilare.

- Et les dames, papa ? Elles sont marrantes, les dames ! Qu'est-ce qu'elles font ?

- Je ne sais pas, Thomas...

- Ce sont des putes, petit ! Lance le chauffeur en rigolant.

- Et qu'est-ce qu'elles font, les putes, papa ?

- Elles font le tapin ! Répond le taxi.

- c'est quoi le tapin, papa ?

- C'est rien, Thomas. Elles attendent leur mari, c'est tout...

- Comme maman, alors ! Dit Thomas. Et elles ont des petits garçons, les putes ?

- Bien sûr ! répond le père avec un sourire revanchans. Et tu sais ce qu'ils deviennent quand ils sont grands, les fils de putes ?

- Non, papa...

- Des chauffeurs de taxi

En 1939, un jeune Parisien revient tout juste de chez le cordonnier, où il a porté ses chaussures à ressemeler, lorsqu'il apprend à la radio que la guerre est déclarée et que c'est la mobilisation générale. C'est "la drôle de guerre", puis le désastre de mai 40. Le jeune homme parvient à gagner l'Angleterre où il rejoint la France libre avant d'être incoporé à la 2e DB et de faire toute la guerre à bord d'un char.

En 1945, enfin, il est démobilisé et il rentre chez lui. En passant devant la boutique du cordonnier, mû par une impulsion soudaine, il entre et salue le commerçant.

- Vous me reconnaissez ?

- Non...

- J'était venu vous porter des chaussures, la vielle de la guerre ! Vous vous rendez compte ? Si on m'avait dit que je ne reviendrais pas avant cinq ans ! Au fait, vous les avez toujours.

- Je vais voir.

Le cordonnier passe dan sl'arrière-boutique, fouille dans ses tiroirs et lance :

- Vos chaussures, elles sont bicolores ?

- Oui !

- Marron et blanc ?

- Oui !

- Il fallait les ressemeler, c'est ça ?

- Oui, oui !

- Elles seront prêtes en début de semaine...

Dans un grand restaurent parisien, un client étranger passe commende pour les fromages.

- Vous me donner du chèvre, un peu de camenbèrt, du roquefort et rompit, SVP.

- Pardon ?

-Du chèvre, du camenbèrt, du roquefort et du rompit, rèpéte le client

- Oui, monsieur, dit le garçon. Tout de suite... Le garçon file voir le maître d'hôtel, à l'autre bout du restaurant.

- j'ai un problème, monsieur rené. Il y a l'à un client "tranger qui me demande du rompit !

- Du quoi ?

- du rompit ! Un fromage, je crois...

- Je vais aller voir ça.

Le maître d'hôtel s'approche de la table, présente au client son assiette de fromage composée selon sa commande, à l'exception, bien sûr, du fameux rompit.

- Voilà, monsieur.

- Et mon rompit ! Il n'y a pas de rompit ! Vous êtes le pays du fromage, oui et non , C'est un scandale ! Un restaurant de cette classe !

- Ecoutez, monsieur, j'avoue ne jamais entendu parler de ce fromage, répond le maître d'hôtel, rouge de confusion.

- Mais enfin, mon brave, on en parlait déjà dans la bible !

- Vraiment ?

- mais oui ! tenez, c'est jésus pendant la Cène. On dit qu'il prit le vin, le pain et le rompit. Alors !

Alors demain ?

- Non plus, je doit voir ma soeur.

- Et si on déjeunai demain ensemble à midi ?

- Désolée, je suis déjà prise.

- Bon alors ce week-end ! dit le type, passablement énervé.

- Ah, non, vraiment c'est pas de chance, mais ce week-end je vais chez ma mère.

- Mais ta mère est morte !

- Je voulais parlé de ma tante. Elle m'a toujours élevé comme sa propre fille...

- Tu sais ce que je pense ? je pense que tout ça c'est du bidon !

- Et oui, dit la femme, c'est du bidon !

- Alors tu ne veux ni déjeuner, ni dîner avec moi ?

- Franchement, tu sais, dit l'homme il y a des jours où je me demande pourquoi je t'ai épousé.

Un homme appele une femme au téléphone.

- On va prendre un verre, ce soir ?

- Ah, non, ce soir ce n'est pas possible, je doit me laver les cheveux.

-

Dans un salon de thé très chic, un garçon sert - vous ne devinerez jamais quoi - le thé à deux vieilles dames, puis demande :

- Sucre ?

- Deux morceaux, dit la première vieille dam.

Le garçon sort une petite cuiller et prend deux sucres qu'il met dan sla tasse de thé.

- Merci, dit la vieille dame, en se tournant versson amie. Tu vois, marthe, c'est très chic, très hygiénique, cette petite cuiller.

Ainsi, le garçon  ne touche pas le sucre avec ses doigts !

- Oui, oui, répond l'autre vieille dame distraitement.

- Quoi ?Qu'est-ce qu'il y a ?

- c'est que... Excusez-moi, garçon, mais il y a une ficelle qui dépasse de votre braguette !

- Oui, madame, c'est exact, répond le garçon.

- Et... A quoi ça sert ?

- C'est également une question d'hygiène, madame. Voyez-vous, cette ficelle est reliée a mon petit oiseau. Quand j'ai besoin d'aller aux toilettes, je le tiens par la ficelle, comme ça je ne me salis pas les doigts !

- Formidable ! et pour le remettre dans votre pantalon ?

- Ah, pour le remettre, madame, j'ai la petite cuiller !

Madame Dugommeau a acheté deux cravates pour l'aaniversaire de son grand fils. Une cravate bleue à rayures rouges et une cravate verte à pois jeunes.

- Ho, merci, maman ! Dit le jeun Dugommeau. elles sont magnifiques !

- De rien, mon petit... tu es sûr que tu les aimes ?

- Oui, maman.

- Si tu n'en aimes pas une, on peut la changer, tu sais !

- Non, non, maman. Je les adore toutes les deux.

- Sûr-sûr?

- ouiiii !

- Bien. Alors tu sais ce qui me ferait plaisir ?

- Non, maman...

- C'est que tu en mettes une, la prochaine fois que tu viendras nous voir.

Le dimanche suivant, le jeune Dugommeau arrive avec la cravate à rayures.

- Oh, tu es magnifique, comme ça ! Dit madame Dugommeau en ouvrant la porte.

Et puis son sourire se crispe.

- Je m'en doutais...

- Tu te doutais de quoi, maman ?

- Tu as mis la cravate à rayures.

- ben oui...

- Et voilà ! Tu n'aimes pas la cravate verte à pois jaunes ! J'en étais sûre !

- Ma chérie, demande un soir monsieur Dugommeau à son épouse, si je mourais, est-ce que tu te remarierais avec un autre homme?

- Sans doute, répond madame Dugommeau.

- Et est-ce que tu garderais notre lit conjugal avec lui?

- Sans doute...

- Et est-ce que tu lui donnerais mes clubs de golf?

- Non, mon chéri. Il est gaucher...

Une maitresse dit a ces élèves :

- Il y a 10 oiseaux sur un fil électrique. Le chasseur tire sur un oiseaux. Combien en reste-t-il?

Toto lève la main et dit :

- Aucun madame, parce que les autres oiseaux ont eu peur etils sont tous partient!

La prof répond :

- Ha! J'aime bien ta façon de penser!

Toto répond :

- Madame, c'est 3 femmes qui sont dans la rue et elles mangent une glace chacune. Il y an à une qui suce la glace, l'autre croc dans la glace, et la troisième lèche la glace. Laquelle est mariée.

La professeur répond :

- Celle qui ... suce la glace.

Toto dit :

- Non, c'est celle qui a une bague de fiançaille. Mais j'aime bien votre façon de penser ! ! !